Un siècle sans promesses 
Un enfant qui respire 
Cette vie qui nous blesse 
A mesure que s'effacent 
Nos plus beaux souvenirs 
Ou meure l'adrénaline 
De cette solitude 
Faut-il payer le prix 
Pour sentir qu'on existe 
Au milieu de ces ruines 
Je me rappelle je jure 
Que chacune des blessures 
En moi 
Puisque le ciel est grand 
Que le temps nous tue 
Que restera-t-il de nous? 
Puisqu'on fait semblant 
Et qu'on s'habitue 
A ne rien se dire du tout 
Qui sauvera les vestiges? 
D'une vie de sacrifice 
Suis-je encore cet enfant 
Qui garde au fond des yeux 
Les feux sans artifice? 
Je t'aimerai comme hier 
A m'en glacer le sang 
Les courses en solitaire 
Sans la chaleur humaine 
Se perdent avec le temps 
Je me rappelle je jure 
Que chacune des blessures 
En moi 
Puisque le ciel est grand 
Que le temps nous tue 
Que restera-t-il de nous? 
Puisqu'on fait semblant 
Et qu'on s'habitue 
A ne rien se dire du tout 
Puisque le ciel est grand 
Que le temps nous tue 
Que restera-t-il de nous? 
Puisqu'on fait semblant 
Et qu'on s'habitue 
A ne rien se dire du tout 
Puisque le ciel est grand 
Que le temps nous tue 
Que restera-t-il de nous? 
Puisqu'on fait semblant 
Et qu'on s'habitue 
A ne rien se dire du tout 
Puisque le ciel est grand 
Que le temps nous tue 
Que restera-t-il de nous? 
Puisqu'on fait semblant 
Et qu'on s'habitue 
A ne rien se dire du tout 
Source : LyricFind 
Paroliers : Maxime Nouchy / Stanislas Poupaud / Yohann Malory 
Paroles de Un enfant du siècle Universal Music Publishing Group