Tes yeux pour pleurer, une joue à tant de liberté en voler, tu les as là.

Laissez-la prendre, je vais grogner et cogner Mon cul n'est pas à vendre, désolé Et je vais pas m'y moller

Pour me faire entendre tes yeux pour pleurer Une joue à tant de liberté envolée

Tu les as laissé la prendre.

Je vais grogner et cogner.

Mon cul n'est pas à vendre, désolé.

Pas m'immoler pour me faire entendre La mère tourne en boucle La pilule tu l'as grobée Y'a pas grand chose à foutre

les soucis au fond d'un gobelet et on bat ses moutes même ta tour est démodée tu crois que c'est lourd mais y'a que ta connerie qui est enrobée tu voudrais

qu'on t'écoute, mais tu parles à des drogués, le diable s'aime le doute, y'a de la violence à applaudir, et ils viennent en traite pour gnauder, allez chou fendouf

Comme de la gélatine de porc dans la bouffe, mon sauce On l'est vu qu'on se tape sur l'épaule de la cour d'école

En passant par le Haut-Laton Ouvre des réseaux parallèles sur Paname Ils sont trop jeunes pour le halal

Mais y'a pas d'âge pour l'haram, c'est sé ou kolal Tout est hardcore, ça devient banal, ça vend la mort

Mais à part ça, ça mange Halal Qui n'aime pas l'oseille Et les faux culs mes coeurs Que mes mots ne touchent pas tes oreilles

Mais te transperce le cœur, tes yeux pour pleurer Une joue à tant de liberté envolée

Tu les as laissé la prendre.

Je vais grogner et cogner.

Mon cul n'est pas à vendre.

Désolé.

Et je ne vais pas m'y moller.

pour me faire entendre, des yeux pour pleurer, une joue à tant de liberté enfouie,

tu les as laissé la prendre, je vais grogner et cogner, mon Dieu n'est pas à vendre, désolé, et je vais pas

J'ai mis mon nez pour me faire entendre Lourds sont les baloches, le respect est obligatoire Quatre portables dans la sacoche

commis sur au gatoir, les murs ont des oreilles, commissaire veut tout savoir, parfois les potes de la veille

Aurait besoin d'un bavoir Les parents désespèrent Les condés sont détestés La Virginie t'espère

Le respect, faut que tes belles promesses Je me débrouille moi-même, la seule fin heureuse Que je connaisse, c'est la fin de la

Et nique sa race J'ai plus le temps d'être piche Fond de la place comme une liasse

En billet et je range mes sourires J'apprends à être triste, à croire que t'es obligé

Charlie quand t'es un artiste Et l'amour du risque Faire du hors-piste Les yeux bandés

Ce qui consiste à sortir un disque en indé et se blinder face à l'ennemi et pas là pour mendier.

Arrêtez de glander Pour l'appel à la prière Y'a personne c'est con Qu'on habille là à Diallo

Y'a tout le monde qui répond à l'école de la rue Ils n'ont que des mauvais professeurs Y'a que l'oseille et les culs

servent d'antidépresseurs on s'en sort quand on peut la drogue dans du selo vaut mieux récupérer

Comico que ta fille au télo Ils font les mecs sympas Mais ont deux drôles d'idées

Sous-titres par Jérémy Diaz

gronniers et conniers mon cul n'est pas à vendre désolé et je vais pas m'immoler pour me faire entendre

Tes yeux pour pleurer, une joue à tant de liberté envolée Tu les as laissé la prendre, j'vais grogner et collier Mon cul n'est pas à vendre, désolé

et je ne vais pas m'y mourir pour me faire entendre.

Sous-titres par Jérémy Diaz

Marquez la vie

pour être mordu.

Je vais parler le tarot

Je prends ma place