(Ouh ouh oh oh)

Sonne l'alarme, sonne l'alarme

(Ouh ouh oh oh)

Sonne l'alarme, sonne l'alarme

Dieu se tient à la porte la perdition ouvre les siennes

Des chemins mènent à la gloire gloire qui précède la géhenne

Nos courses sont effrénées mais on n'égraine le temps

Il des choses qu'on bouscule et d'autres requièrent patience

Je sens que je n'ai plus les épaules car l'atmosphère est pesante

Quand chacun veut jouer un rôle mais peut-être pas celui qu'on attend

Je veux être fort en dedans pour résister au dehors

Il est des ruines qu'on construit et d'autres que nous jette le sort

Beaucoup d'entre-nous sont partis combien ont abandonné

Certains ont cherché le vrai d'autre le faux et se sont ruinés (hé)

Même les pacotilles brillent à quoi bon les accumuler

On commence en grand multiple on finit à une poignée

On doit cheminer seul tout en étant entouré

Laisser le terme "juger l'autre" pour "l'accepter et composer"

Avoir à cœur de porter de l'aide voir qu'il nous en faut aussi

Seul on atteint des rêves ensemble ce qu'on croyait impossible

Je sonne l'alarme vise le cœur pour influer l'intellect (yé)

Ouvrir les yeux (han han han)

Et tenter de voir (hé hé hé) le monde tel qu'il est

Vivre dans la paix sans oublier le danger (nan nan nan nan nan)

Une sentinelle pour les miens qui par amour veut veiller (hé hé)

Je sonne l'alarme vise le cœur pour influer l'intellect

Ouvrir les yeux et tenter de voir le monde tel qu'il est

Vivre dans la paix (nan nan nan nan nan nan nan nan)

Sans oublier le danger

Une sentinelle pour les miens (yé) qui par amour veut veiller

On passera toutes ces étapes connaîtra le doute au départ

Multipliera les débats pour éviter que l'on s'égare

Un passé qui en témoigne tant de blessures restent en mémoire

Quand l'ego prend le pas on en oublierait presque le message

Parfois l'amour se dégrade plus un geste plus un égare

Ça fait mal de se rendre compte qu'il y a un fossé qui nous sépare

L'amertume est coutumière comme la tristesse dans nos regards

Quand il n'y a plus de lumière dans le noir

Il n'y a plus d'espoir (hé)

Mais qui veille sur toi

Quand tu ne vois plus l'horizon que le temps presse tes pas

La peine devient ta prison et tu baisses les bras

Tant de fardeaux à porter récit de cœurs écorchés (hé)

Mais qui sèche tes larmes

Les frères te tendent le bras n'hésite pas baisse les armes

Ne laisse pas les maux te taire tu risques de perdre ton âme

Faut que tu sonnes l'alarme, sonne l'alarme (hé)

Je sonne l'alarme vise le cœur

Pour influer l'intellect (Sonne l'alarme)

Ouvrir les yeux (sonne l'alarme)

Et tenter de voir le monde tel qu'il est (oh la)

Vivre dans la paix sans oublier le danger (sonne l'alarme)

Une sentinelle pour les miens (sonne l'alarme)

Qui par amour veut veiller (hé hé hé)

Je sonne l'alarme vise le cœur (nan nan nan)

Pour influer l'intellect (sonne l'alarme)

Ouvrir les yeux (sonne l'alarme)

Et tenter de voir le monde tel qu'il est (oh la)

Vivre dans la paix sans oublier le danger (sonne l'alarme)

Une sentinelle pour les miens (sonne l'alarme)

Qui par amour veut veiller

Je sonne l'alarme, je je sonne l'alarme

Je sonne l'alarme, je je sonne l'alarme

Je sonne l'alarme, je je sonne l'alarme

(Sonne l'alarme, sonne l'alarme)

Je sonne l'alarme, je je sonne l'alarme

Je sonne l'alarme, je je sonne l'alarme

Je sonne l'alarme, je je sonne l'alarme

(Sonne l'alarme, sonne l'alarme)

(Sonne l'alarme, sonne l'alarme)