S'il y a des mots
Qui t'ont fait pleurer, mon ange,
Et d'autres qui t'ont révoltée,
S'il y a des idées
quelquefois qui dérangent,
J'en ai qui font danser.
Te souviens tu d'un slow,
Di ans plus tôt,
Déjà di ans...
Tu voulais m'épouser.
Quelle drôle d'idée.
Tu n'avais pas quinze ans.
Tu voulais faire l'amour.
Comment fait on l'amour ?
J'n'étais pas un géant.
J'étais plutôt gêné.
Quelle drôle d'idée !
Danser c'est suffisant.
Je n'sais plus comment
finissait la chanson.
J'ignorais qu'elle avait un nom.
C'était la chanson du bonheur
D'un vieil amant compositeur.
J'aime bien les histoires
Qui me font boire
Sans désespoir,
Les mélodies carrées
Qui font danser,
Qui font aimer la vie.
J'aime aussi, sur le tard,
Un piano bar
Qui meurt d'ennui,
Tous les disques oubliés
Qui font penser
Qu'on a déjà vieilli.
Je n'sais plus comment
finissait la chanson.
J'ignorais qu'elle avait un nom.
C'était la chanson du bonheur
D'un vieil amant compositeur.
Te souviens tu d'un slow,
Di ans plus tôt,
Déjà di ans...
Tu voulais m'épouser.
Quelle drôle d'idée.
Tu n'avais pas quinze ans.
Tu voulais faire l'amour.
Comment fait on l'amour ?
J'n'étais pas un géant.
J'étais plutôt gêné.
Quelle drôle d'idée !
Danser c'est suffisant.
Te souviens tu d'un slow,
Di ans plus tôt,
Déjà di ans...
Tu voulais m'épouser.
Quelle drôle d'idée.
Tu n'avais pas quinze ans.
Tu voulais faire l'amour.
Comment fait on l'amour ?
J'n'étais pas un géant.
J'étais plutôt gêné.
Quelle drôle d'idée !
Danser c'est suffisant...