Ô drame 
Deux âmes sœurs par la mort séparées 
L'âme survivante devint folle à lier 
D'un rituel maudit, la calamité s'abattit 
Mais par la lame pure d'une enfant prit fin 
Consacrée par les Adeptes, 
Une nouvelle famille l'accepte 
Rouges sont les cordes qui taisent 
Ses élans contraires 
La grue terne en sa demeure, 
N'y trouva ni âme ni cœur, 
Nul lien de ce monde ne resta 
Dans ce monde, si étranger 
Son cœur, à certains, est familier 
Telle la comète, lance en main 
Elle affronte enfin son destin