Je cours partout dans tous les sens Les problèmes ça éveille l'essence J'ai pas le droit d'échouer
C'est la triste réalité, ma femme et ses contractions au ventre, le bébé commence à descendre.
Les neuf mois sont écoulés.
Rappelez, rappelez, je serre la ceinture.
J'ai dû y percer de nouveaux trous.
Ma life me casse les couilles.
J'ai bien envie d'un nouveau souffle.
Une balle dans la tête.
J'y ai pensé, mais je tiens le coup.
Mais là, je suis à bout.
Mais là, je suis à bout.
Je perpille.
Toute cette haine que j'ai accumulée Mon esprit se fait torturer
Ils sont mon cœur, c'est consumé Appelez, appelez, appelez, appelez Non, non, non, non, appelez, appelez
Abelé, Abelé, nanana Abelé, Abelé Abelé, Abelé, nanana Abelé, Abelé
Appelez, appelez, nanana, appelez les pompiers.
Les jours se ressemblent, pour me renaître de mes cendres.
Plongé dans ma tourmente, je cherche lumière et torche.
Mes soi-disant potos, pour tourner le dos J'ai le dos au mur, je cherche aux voitures, mais c'est blanc Elles n'ont prouvé plus de me voir, de vous saouler Et là elle s'écroule, à quel sens je vais me vouer
Elle a coulé des larmes et c'est là que j'ai pigé Que bébé est parti avant même d'être arrivé Je perpille
Toute cette haine que j'ai accumulée Mon esprit se fait torturer
Juste sans mon cœur c'est consumé Appelez, appelez, appelez, appelez Non, non, non, non, appelez, appelez
Haberé Haberé Nanana Haberé Haberé Haberé Haberé Nanana Haberé Haberé
Abbele, abbele, nanana, abbele bon pied
Et je perds plus Toute cette haine que j'ai accumulée Mon esprit se fait torturer Je sens mon corps se consumer
Et je perds pile, toute cette haine que j'ai accumulée Mon esprit se fait torturer, je sens mon corps se consommer Appelez pompiers, appelez, appelez, non non non non, appelez, appelez
Abelé, Abelé, nanana Abelé, Abelé Abelé, Abelé, nanana Abelé, Abelé
Abelé, Abelé, nanana, Abelé Pompier.