Ouap pa pa la la, ouap pa pa la pa la la 
Ouap pa pa la la, ouap pa pa la la la 
Embrasse-moi dessus bord 
Viens, mon ange retracer le ciel 
J'irai crucifier ton corps 
Pourrai-je, dépunaiser tes ailes 
Embrasser, te mordre en même temps 
Enfoncer mes ongles dans ton dos brûlant 
Te supplier de me revenir 
Et tout faire, Ô tout pour te voir partir 
Et viens, emmène-moi là-bas 
Donne-moi la main que je ne la prenne pas 
Écorche mes ailes, envole-moi 
Et laisse-toi tranquille à la fois 
Mille fois entrelaçons-nous 
Et lassons-nous même en dessous 
Serre-moi encore, serre-moi 
Jusqu'à étouffer de toi 
Il y a des salauds 
Qui pillent le cœur des femmes 
Et des femmes qui n'savent plus trop 
D'où l'amour tire son charme 
Papillon de fleur en fleur 
D'amour en amour de cœur 
Ceux qui n'ont qu'une étoile 
Ou ceux qui brûlent leur voile 
Ouap pa pa la la, ouap pa pa la pa la la 
Ouap pa pa la la, ouap pa pa la la la 
J'aime tes larmes quand tu aimes 
La sueur, le sang rendons-nous amants 
Qui se passionnent, qui se saignent 
J'aime quand mon écorché est vivant 
Je ne donne pas long feu 
À nos tragédies à nos adieux 
Reviens-moi reviens-moi 
Tu partiras mieux comme ça 
À force de se tordre 
On en finirait par se mordre 
À quoi bon se reconstruire 
Quand on est adepte du pire 
Malgré nous malgré nous 
À quoi bon se sentir plus grand que nous 
Deux grains de folie dans le vent 
Deux âmes brûlantes, deux enfants 
Il y a des salauds 
Qui pillent le cœur des femmes 
Et des femmes qui n'savent plus trop 
D'où l'amour tire son charme 
Papillon de fleur en fleur 
D'amour en amour de cœur 
Ceux qui n'ont qu'une étoile 
Ou ceux qui brûlent leur voile 
Ouap pa pa la la, ouap pa pa la pa la la 
Ouap pa pa la la, ouap pa pa la la la 
Embrasse-moi dessus bord 
Viens mon ange retracer le ciel 
J'irai crucifier ton corps 
Pourrai-je dépunaiser tes ailes 
T'embrasser, te mordre en même temps 
Enfoncer mes ongles dans ton dos brûlant 
Te supplier de me revenir 
Et tout faire, Ô tout pour te voir partir 
Et viens, emmène-moi là-bas 
Donne-moi la main que je ne la prenne pas 
Écorche mes ailes, envole-moi 
Et laisse-toi tranquille à la fois 
Mille fois entrelaçons-nous 
Et lassons-nous même en dessous 
Serre-moi encore, serre-moi 
Jusqu'à étouffer de toi 
(Il y a des salauds) 
(Qui pillent le cœur des femmes) 
Serre-moi encore, serre-moi 
Jusqu'à étouffer de toi 
(Pa pa la pa la la) 
Serre-moi encore, serre-moi (pa pa la pa la la) 
(Pa pa la pa la la) 
Serre-moi encore serre-moi (pa pa la pa la la) 
(Pa pa la pa la la) 
(Serre-moi encore serre-moi, pa pa la pa la la)