Assis sur une chaise
Tout prêt de sa maison
Un vieux gaspésien rêve
Quant ils étaient garçon
Dans les grand champs de blé
Derrière les bâtiments
Ils à passé sans peine
D'agréables moments
Je me souviens encore
Dit il d'une voix tendre
Du bon vieux feu de bois
La braise aussi sa cendre
Moi et tous mes amis
L'entourant éblouis
À chaque craquement d'bois
Nous paraissions surpris
Elle en a travaillé
Cette vieille charrue
Mais l'herbe à repoussé
On n'la voit presque plus
Les champs abandonnés
On ne coupe le foin
Il faudra bien qu'un jour
Nous y mettions la main
Je suis sûr que mon père
Qui nous regarde d'en haut
N'est pas très fier de nous
En voyant ce fléau
La grange les animaux
Instruments aratoires
Son venu du passé
Pour passer à l'histoire
Elle en a travaillé
Cette vieille charrue
Mais l'herbe à repoussé
On n'la voit presque plus
Les champs abandonnés
On ne coupe le foin
Il faudra bien qu'un jour
Nous y mettions la main
Gudh labiaka sudht
Jemme seoth la maith