Et moi
Moi la fidèle amie
Dont la main essuya tes yeux
Par qui la douleur endormie
S'exhale en rêves dans les cieux
Ne suis- je rien
Que la tempête des passions s'apaise en toi
L'homme n'est plus renais poète
Je t'aime
Hoffmann
Appartiens- moi
Comme des astres radieux
Et je sens ò ma muse aimée
Passer ton haleine embaumée
Sur mes lèvres et sur mes yeux
Passer ton haleine embaumée
Sur mes lèvres
Sur mes lèvres et sur mes yeux
Muse aimée je suis à toi