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Noir et blanc

Bernard Lavilliershuatong
pickering.christophehuatong
Lời Bài Hát
Bản Ghi
C´est une ville que je connais

Une chanson que je chantais.

Y a du sang sur le trottoir

C´est sa voi , poussière brûlée

C´est ses ongles sur le blindé.

Ils l´ont battu à mort,

il a froid, il a peur

J'entends battre son coeur

De n´importe quel pays, de

n´importe quelle couleur.

Po Na Ba Mboka Nionso

Pe Na Pikolo Nionso

Il vivait avec des mots

Qu´on passait sous le manteau

Qui brillaient comme des couteau .

Il jouait d´la dérision

Comme d´une arme de précision.

Il est sur le ciment, mais

ses chansons maudites

On les connaît par cœur,

La musique a parfois des accords majeurs

Qui font rire les enfants

mais pas les dictateurs.

De n´importe quel pays, de

n´importe quelle couleur.

La musique est un cri

qui vient de l´intérieur.

Ça dépend des latitudes

Ça dépend d´ton attitude

C´est cent ans de solitude.

Y a du sang sur mon piano

Y a des bottes sur mon tempo.

Au dessous du volcan, je

l´entends, je l´entends

J´entends battre son cœur.

La musique parfois a des accords mineurs

Qui font grincer les dents

du grand libérateur.

De n´importe quel pays, de

n´importe quelle couleur.

La musique est un cri

qui vient de l´intérieur.

C´est une ville que je connais

Une chanson que je chantais

Une chanson qui nous ressemble.

C´est la voi de Mendela

Le tempo docteur Fela

Ecoute chanter la foule

Avec les mots qui roulent

et font battre son cœur.

De n´importe quel pays, de

n´importe quelle couleur.

La musique est un cri

qui vient de l´intérieur

Po Na Ba Mboka Nionso...

Pe Na Pikolo Nionso

La musique est un cri

qui vient de l´intérieur

Po Na Ba Mboka Nionso...

Pe Na Pikolo Nionso

Po Na Ba Mboka Nionso...

Pe Na Pikolo Nionso

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