C'est vrai que dans ses draps fourbus
Jusqu'au aurores à l'inconnu
Elle a roulé à demi nue
Son corps de bras en bras tendus
C'est vrai qu'au vent de ses cheveu
A ses parfums de safran bleu
Elle a brûlé à petit feu
Sa liberté manière de jeu
Elle a dans son regard
Un reste d'étendard
L'ombre d'un corbillard
Que poussent des pillards
Moi je l'ai tant aimée
Tant aimée...
Que mon corps est pétri
Des parfums de sa vie
Moi je l'ai adorée
Oh... Adorée...
Que mon corps est pétri
Des parfums de sa vie
C'est vrai qu'au bord de ses écarts
Ses yeu froissés sont en retard
Quand sonne l'heure de leur départ
Ou d'un sourire ou d'un regard
Elle a le corps ouvert
Au rives des adultères
A la caresse amère
Des amours passagères
Moi je l'ai tant aimée
Tant aimée...
Que mon corps est pétri
Des parfums de sa vie
Moi je l'ai adorée
Oh... Adorée...
Que mon corps est pétri
Des parfums de sa vie
C'est vrai qu'elle a donné souvent
Des nuits, des rêves éblouissants...
Moi je l'ai tant aimée
Tant aimée...
Que mon corps est pétri
Des parfums de sa vie
Moi je l'ai adorée
Oh... Adorée...
Que mon corps est pétri
Des parfums de sa vie